Nîmes est la seule ville de France ayant donné son nom à un courant de pensée économique : la pensée coopérative. L’histoire de l’Ecole de Nîmes est en grande partie l’histoire de la coopération française et internationale.
C’est la raison pour laquelle se sont déroulés divers séminaires et conférences autour de Charles Gide et de l’Ecole de Nîmes dans le Gard durant le mois d’octobre 2012.
Nous publions ici un texte rédigé à cette occasion par Jean-Claude Woillet, géographe, médaillé de la Confédération Générale des SCOP, expert consultant du BIT et enseignant au Collège coopératif Alpes Provence Côte d’Azur.
Merci pour ce texte
Un mot pour compléter, puisqu’il est vrai que la « vraie vitalité est de renaître » : Gide est le fondateur de la Revue des études coopératives (1921), devenue Recma (revue des études coopératives mutualistes et associatives) au milieu des années 80 (http://recma.org/histoire_recma. Cette revue, la seule revue de recherche sur le fait coopératif au sens large, en France et à l’international, est toujours bien vivante (http://recma.org/rechercher_un_article).
Par ailleurs, un tout récent livre de M. Draperi revient sur la rencontre de la coopération socialiste (Jaurès) et bourgeoise chrétienne (Gide) de 1912, évènement politique majeur de la coopération. http://recma.org/node/2481
Coopérativement
Jordane Legleye